La KXK est produite par une petite brasserie du sud du Pays de Rennes, la Brasserie Kalon. Cette bière blonde présente la mention " bitter " sur son étiquette aux couleurs chaudes, témoignant d' une filiation d' outre-manche.
Versée, on ne peut s' empécher d' être attiré par ses senteurs multiples et savamment variées... Le mariage entre le houblon Admiral et le malt Pale Ale, avec une pointe de lactose fonctionne à merveille. Sa robe est, quant à elle, blonde, radieuse, et délicatement trouble... Autant d' indices qui laissent présager d' un agréable rencontre ! Inondant mes papilles de ce brevage, le voile se lève, et laisse s' imposer, au milieu d' agréables saveurs, une amérité prononcée, mais très bien mesurée... La KXK est bien l' héritière de ses cousines anglaises ! L' arrière-gout est cependant plus discret, mais n' en écourte pas le plaisir...
Aspect 5/5 Arômes 5/5 En Bouche 5/5 Arrière-gout 4/5 Total 4,75/5
Ce mois-ci ce ne sont pas un mais deux articles que je vous propose. Le premier fait partie de ma rubrique traditionnelle, Informatique et Logiciels Libres, et présente 3 logiciels libres de traitement de texte indispensable pour tout étudiant qui se respecte. Le second est une brêve que j' ai rédigée rapidement après le bouclage de ce numéro de Décembre, sur la venue de l' équipe de Ben et les mange-disques du Mouv' à Rouen. Bonne lecture !
Les bons plans de la bureautique Libre.
Ce mois-ci nous allons rentrer dans le vif du sujet : les logiciels indispensables pour tout étudiant qui se respecte. Des logiciels libres, performants, multi-plateformes et surtout... gratuits ! De plus en plus d’étudiants prennent leur cours directement sur leur ordinateur, ou les retapent au propre chez eux. Microsoft à d' ailleurs fait un geste pour les étudiants, en baissant considérablement le prix de sa suite Office, mais il faut quand même débourser 75 € pour pouvoir l'utiliser pleinement. Pourquoi donc dépenser ses économies alors que d’autres logiciels tout aussi performants font la même chose, voire mieux ?
OpenOffice.org 3
La suite bureautique la plus connue du monde du Libre est sans aucun doute celle développée par Sun Microsystems, OpenOffice. Extrêmement complète, elle nous propose un traitement de texte (Writer), un tableur (Calc), un logiciel de présentation (Impress), un logiciel de dessin vectoriel (Draw), un éditeur de page web et enfin un module de création et de gestion de bases de données (Base). Writer est l’équivalent de Word, Calc de Excel, Impress de Powerpoint... OpenOffice emploie son propre format de document, mais là où ça devient intéressant, c’est qu’elle permet aussi de consulter et modifier les documents sous formats Microsoft (Word, Excel, Powerpoint...), ce qui permet donc à tout utilisateur d'OpenOffice de pouvoir travailler avec des documents d'utilisateurs de Microsoft Office 2007 et antérieurs. Ce qu'on aime dans OpenOffice est sa facilité d' utilisation, la possibilité de convertir un document en PDF simplement, son mode de saisie intuitive, son correcteur orthographique performant, les possibilités de présentations avec Impress... Depuis la version 3, OpenOffice intègre aussi un gestionnaire de greffons, un peu comme ce qui se fait avec l' explorateur web Firefox : ces greffons permettent de rajouter d' autres fonctionnalités à OpenOffice, comme la possibilité de modifier les documents PDF, ajouter du contenu Wikipédia directement dans un document... De plus ce gestionnaire de greffons met automatiquement à jour ces extensions.
AbiWord
AbiWord est un petit traitement de texte sans prétention. Moins performant qu'OpenOffice Writer, il permet néanmoins de créer des pages web, gérant le XHTML et le CSS. AbiWord permet également d'importer les documents Word, dispose d'un bon correcteur orthographique. Le petit plus est sa manière de présenter le choix des polices de caractères par un aperçu rapide dans une bulle distincte. L'intérêt d'AbiWord réside surtout dans sa légèreté, qui lui permet d'être démarré très rapidement, même sur un ordinateur disposant d'une faible configuration. De quoi redonner une nouvelle jeunesse à vos vieux coucous !
Scribus
Scribus est un logiciel de Publication Assistée par Ordinateur (PAO), à l'image de Microsoft Publisher ou QuarkXPress. Si vous voulez créer un journal pour votre association ou pour la fac, le convertir en PDF interactif et qu'en plus il soit exploitable par votre imprimeur, prêt à être flashé, ne cherchez pas plus loin, Scribus est fait pour vous. Scribus permet en outre de lire les documents aux divers formats propriétaires d' Adobe Photoshop, ainsi que des documents OpenOffice Writer et Draw. Son utilisation est ultra simple : il suffit de positionner des blocs sur une page, ayant chacun une fonction différente (texte, image, photo...). Ces blocs sont facilement modifiables, la mise en page peut être affinée bloc à bloc au centième de millimètre près ! Vous pouvez en plus concevoir des modèles de maquettes facilement reproductibles. Scribus vous obéit au doigt et à l'œil.
Ça Mouv' à Rouen
Le 13 Octobre dernier apparaissait sur la bande FM rouennaise la fréquence musicale jeune de Radio France : le Mouv', sur le 95.8. Histoire de marquer le coup, Ben, l' animateur de la tranche 17h-20h, est venu au Vicomté le 19 novembre nous présenter ses manges-disques et ses buzzers. Au programme : émission en direct et en public, 3 heures d' antennes pour présenter la vie étudiante et la scène rouennaise à la France entière. De nombreux artistes made in Rouen sont venus interpréter quelques uns de leurs titres, parmi eux La Maison Tellier, qui a fait une reprise magistrale de Killing In The Name Of de Rage Against The Machine, également Maarten, Darko Fitzgerald, qui nous ont gratifiés de sons mélodiques et posés, et enfin Steeple Remove. Le reporter du Mouv' Philippe Randé était venu faire des repérages dans la ville au cents clochers une semaine auparavant, ainsi a-t-il pu nous offrir des chroniques de qualité concernant le 106, la future salle de spectacle dédiée à la scène rouennaise, ainsi que sur le groupe phare de la région, j' ai nommé les excellentissimes Tahiti 80, qui cartonnent partout dans le monde et qui continuent d' enregistrer leurs albums ici, à Rouen. On peut dire que Ben et son équipe ont mis l' ambiance au Vicomté, une quarantaine de personne sont venus applaudir les prestations en direct des artistes. Entre news et blind test, l' actu et le son rouennais a été passé au crible, dépoussiérant l' image que Rouen se traîne depuis des années dans le reste de l' hexagone, à savoir une ville étudiante morte. L' arrivée du Mouv' à Rouen est une bonne chose pour la scène rouennaise, le potentiel est désormais là pour la vectoriser auprès du plus large publique. L' émission s' est terminée à 20 heures, laissant la place à Max et sa box, Ben et son équipe repartant pour les studios toulousains du Mouv'. Mais, promis, ils reviendront l' an prochain.
En bonus track, une petite vidéos retraçont cette fin d' après-midi au Vicomté...(Vidéo de DominoTV)
La Brasserie Warengheim nous livre là un OVNI dans le monde de la Bière Bretonne, la Melmor, du même nom que ses bouteilles de chouchen reconnues. La Melmor est donc une "Bier Breizh" à laquelle l' on a rajouté des ingrédients de la recette du chouchen. Première particularité au niveau de la bouteille : celle-ci est totalement transparente et révèle d' emblée la robe couleur miel de ce nectar. Une fois ouverte, l'on sent bien que nous ne sommes pas à une bière ordinaire, les senteurs d' hydromel sont ici prédominantes, sans pour autant masquer totalement les senteurs traditionnelles de la bière, même si celles-ci se font discrètes. Une fois dans un verre, la bière produit une mousse abondante mais légère. Une fois en bouche, l' on ressent toute la fantaisie de ce breuvage : à la fois puissant et acidulé, ce gout surprenant est pourtant éphémère, ne laissant pas un arrière gout trop prononcé, seule une impression sucrée demeurante. La Melmor est une bière surprenante, elle peut dérouter les amateurs de bières classique. Mais néanmoins, si vous voulez essayer quelque chose de différent, restant dans l' esprit des bières bretonnes de qualité, vous êtes au bon endroit !
Aspect 5/5 - Arômes 4/5 - En Bouche 5/5 - Arrière-gout 3/5 - Total 4.25/5
Un nouveau mois, un nouveau Tapis Volant, et don un nouvel article sur les Logiciels Libres. Ce mois-ci, une approche théorique simplifiée de la conception d' un logiciel libre attend patiemment votre lecture...
Choses promises, choses dues ! Le mois dernier je vous promettais de vous en dire un peu plus sur ce qu' est le monde du Logiciel Libre. C 'est au travers d' un exemple que vous devez sûrement connaître de nom, Linux, que je vais aborder cet épineux sujet... Le Libre c'est tout une philosophie de l' informatique. Mais concrètement, qu' est-ce qu' un Logiciel Libre ? Prenez la recette des crêpes. Personne n' a la même, suivant les familles et les adaptations il y a des variantes. Vous ne savez pas faire les crêpes, donc vous allez demander à un ami qu' il vous fournisse gentiment la sienne, ce qu' il fait bien volontiers. Vous vous empressez de mettre la main à la pâte, et quelques minutes plus tard, de délicieuses crêpes chaudes sortent de votre cuisine. Vous les goûtez, mais là vous vous dites qu' il manque un petit quelque chose, un ingrédient à y rajouter qui ferait que la recette serait extraordinaire. Vous voici reparti aux fourneaux, et une fois finie, vous faites goûter votre création à vos amis. A l' unisson, ils vous demandent la recette, et comme vous êtes sympa, vous la leur donnez. En gros, même si vous ne voyez pas le rapport au premier abord, voilà ce qu' est la structure d' un logiciel libre.
Mis en parallèle avec notre recette des crêpes, notre logiciel est à la base un simple code source. Le concepteur de ce logiciel, décide, par convictions ou par opportunisme, de mettre son code source à la disposition de tout le monde. Il autorise, par la même occasion, tout le monde à le modifier et à le redistribuer librement. Vous voyez qu' on est pas loin de notre histoire de tambouille un peu plus haut ! C'est comme cela qu' à été bâti le noyau GNU/Linux. A la base, Linux était une création d' un étudiant finlandais, Linus Torvalds, utilisateur des systèmes d' exploitation (abrégé OS pour Operating System) Unix à l' époque ou commençait à apparaître les premières versions de Microsoft Windows, en 1991. Il chercha à tirer les meilleurs performance possible de son nouvel ordinateur personnel, et pour cela il créa un OS sur mesure, « just for the fun ». Ce qui allait devenir la base de la plupart des OS Libres actuels était né, sa création allait se répandre rapidement sur un réseau Internet balbutiant. Pour distribuer sa création, Torvalds opta pour une licence garantissant la liberté de son logiciel, la licence GNU GPL, créée par Richard Stallman. L' objectif de cette licence est de garantir à l' utilisateur la liberté d'exécuter le logiciel, pour n'importe quel usage, la liberté d'étudier le fonctionnement d'un programme et de l'adapter à ses besoins, ce qui passe par l'accès aux codes sources, la liberté de redistribuer des copies et enfin la liberté d'améliorer le programme et de rendre publiques les modifications afin que l'ensemble de la communauté en bénéficie. On y retrouve notre recette de crêpes. Aujourd'hui, de nombreuses distributions (variantes d' OS) utilisent le noyau Linux et les Logiciels Libres. Si l' envie vous prend, vous pouvez essayer quelques unes d' entres elles, notamment celles axées sur le grand public, qui sont parfaites pour débuter. Je pense à Ubuntu, très populaire, avec une communauté active toujours prête à vous aider, et également Mandriva. Vous les trouverez aisément sur Internet en téléchargement légal et gratuit. Sur Rouen, comme dans de nombreuses villes, une association regroupe les utilisateurs de Linux et Logiciels Libres, communément appelée un LUG (pour Linux User Group). Son nom est RotomaLUG, n' hésitez pas à venir à leur rencontre, ils organisent régulièrement des évènements autour du Libre, ou encore à visiter leur site web, www.rotomalug.org . Le mois prochain nous irons encore plus loin dans le Libre, je vous ferai découvrir des logiciels libres et gratuits qui pourront donner du piquant à votre vie étudiante !
L' Aber Du est, comme son nom l' indique, la bière brune produite par la Brasserie des Abers. Comme toute les autres bouteilles de la gamme "Aber", cette variante brune arbore une photographie du paysage des Abers, typique du Léon. On y apprend que cette bière brune fait cinq degrès. A l' ouverture, de nombreuses senteurs délicatement parfumées m' enchante le nez. Je verse donc le breuvage dans un verre, la bière me montre alors sa fine mousse, et à la lumière, elle révèle quelque couleurs claires au travers de son pelage brun. En bouche, une sensation puissante et pétillante s' empare de mon palais. Une saveur relevée et tonique, légèrement acidulée, un savant cocktail. Cependant l' arrière-gout ne garde pas la même teneur, celui-ci est très léger, peu amer pour une brune. L' Aber Du reste tout de même une curiosité pour tout amateur de bière bretonne !
Aspect 4/5 - Arômes 5/5 - En bouche 4/5 - Arrière-goût 3/5 - Total 4/5
Un nouveau journal mensuel est apparut sur le campus de l' Université de Rouen, son nom est Tapis Volant, édité par l' association Fac-here, et j' en suis rédacteur. Je rédige les articles relatifs à l' Informatique et aux Logiciels Libres, et chaque mois, je vous ferai profiter de cette rubrique.
Pour inaugurer cette rubrique « Informatique », et comme la rentrée universitaire bat son plein, je vais aborder ici un sujet plus ou moins sensible. Il s' agit des PC de la BU. Vous l' aurez sûrement remarqué, les ordinateurs en libre-service y sont légions. Le plus difficile est d' en trouver un qui fonctionne correctement. Mais pour les néophytes, le calvaire semble loin d' être fini a cette simple prospection. On entend souvent s' exclamer : « Mais ! Qu'est ce que c'est que cet affichage bizarre ? », ou encore : « C'est pas Windows et ça a un nom imprononçable ! ». No panic... On va vous aider.
Les PC de la BU utilisent des systèmes d' exploitation - « OS », comme « Operating System » pour les intimes - autre que Windows, il s' agit de distributions Linux nommées Xubuntu ou Redhat, suivant la BU dans laquelle vous êtes. Si vous ne comprenez rien à ce charabia, ne vous alarmez pas, j' y reviendrai le mois prochain. Il s' agit donc d' OS dit « Libre ». Avantage pour l' Université : pas la peine de payer des licences Microsoft à tour de bras, de plus les systèmes sont légers, donc peuvent tourner sur des machines anciennes, voire, de récupération. Linux est aussi stable que performant, donc, what else ?
Pour pouvoir utiliser les PC, vous aurez besoin de votre identifiant étudiant électronique ainsi que de votre mot de passe. Pour cela, contactez votre scolarité ou votre service informatique. Ils seront à entrer sur l' écran de connexion de l' ordinateur. Si vous ne vous souvenez plus de votre identifiant, il se trouve normalement sur votre carte d' étudiant. Vous aurez ensuite accès à votre bureau virtuel. Là, vous pourrez utiliser pas mal de logiciels pour les besoins les plus urgents. Le principal étant le navigateur web Firefox - équivalent libre d' Internet Explorer -, mais il y a également un éditeur de texte, un logiciel de dessin, bref un bon ensemble bureautique, suffisant pour y travailler. Vous pouvez accéder à ces programmes dans le menu « Applications », ils y sont classés par tâches. Ce que l' on peut regretter ici, c'est que la plupart des PC ne sont pas équipés de port USB, ce qui est extrêmement gênant pour les étudiants nomades.
L' initiative de l' Université est louable, nous avons des ordinateurs à notre disposition, et pas seulement à la BU. Disons que pour travailler sérieusement, ce n' est pas encore le plus approprié. Il s' agit en fait de postes de navigation web plus qu' autre chose, servant à 99 % à faire des recherches sur la toile. Le reste des fonctionnalités est rendu anecdotique par la faiblesse du matériel, ce qui est dommageable, mais compréhensible à la vue du budget universitaire. Il n' empêche que pour beaucoup d' étudiants, il s'agit là du premier contact avec le monde des logiciels libres, et je tenterai chaque mois, ici, de vous le faire connaître un peu plus.
Voici quelques temps déjà que j' avais envie de faire un article consacré à certaines vidéos de la grande toile internationale. J' en ai selectionné trois, d' interêts et de longueurs diverses... Je vous présente ici mon programme télé pour une soirée réussie !
19 h 03, en access prime time, un épisode publicitaire d' Urgences inédit.
Ouvrir des fenêtres et manger des pommes à longueur de journées commence sérieusement à vous rendre las, et vous risquez le coma éthylique ? Pas de panique ! Nos médecins urgentistes spécialisés ont la solution !
20 h 51, en prime time, une superproduction : The GAJA Effect.
Thriller juridico-estudiantin, cette production Dalloz est un chef d' oeuvre du genre. Cette fiction parvient à faire rêver un étudiant en droit lambda, obsédé par la difficile matière qu' est le Droit Administratif, puis à le faire revenir à la dure réalité des choses... A mi-chemin entre Retour vers le futur et les partiels de Septembre, voici The GAJA Effect !
22 h 34, deuxième partie de soirée, un docucumentaire sur LinEx.
Pour finir votre soirée sur notre chaine, voici un documentaire sur la cinquième région de l' Union Européenne la plus pauvre en matière de PIB. Il s' agit de l' Extremadure, en Espagne. Cette région est en passe de réussir son retour à la croissance grâce a une utilisation poussée de Linux et l' emploi systématique de logiciels libres.
Voici la dernière née de la Brasserie Coreff de Carhaix, la Coreff Bio, qui a pour signe particulier de n' être composée que d' ingrédients issus de l'agriculture biologique bretonne. Le design de la bouteille ressemble à celui de toute les Coreff, cependant le fond "Gwen Ha Du" a été remplacé par arrière plan plutout champêtre, rappelant les origines de cette variante.
Lentement décapsulée, la bouteille révèle dejà les senteurs du nectar qu' elle abrite... une pure merveille ! Ces senteurs fruitées et houblonée sont déjà un excellent présage de ce que l' on peut par la suite admirer : une robe dorée, à la fois trouble et transparente, une mousse présente, légère sans être trop abondante... Que dire alors, alors, de la sensation que l' on éprouve lorsque l'on porte son verre à ses lèvres ! Une saveur ronde et généreuse, fleurie par le houblon et relevée par le malt, prolongeant ainsi le plaisir... L' arrière gout à la fois fruité et légèrement amer est léger, mais se prolonge poutant durant quelques instants... La Coreff Bio fait partie de ces bières qui ont fanchi l' Olympe pour en trouver le sommet : tout simplement divin.
Aspect 5/5 - Arômes 5/5 - En bouche 5/5 - Arrière-goût 5/5 - Total 5/5
La Ouessane est une bière originale que nous propose la Brasserie de Abers, fondée en 1999 à Ploudalmézeau. En effet, cette bière à pour particularité d' inclure dans sa compostion un ingrédient peu commun, l' algue wakamé de Ouessant. Rassurez-vous, cette bière est loin de sentir la vase ! La bouteille se présente simplement arborant une photo d' un goemonier brestois, nous laissant présager d' une bière artisanale de qualité. Après ouverture de la bouteille une effluve de malt s' empare délicatement de votre odorat. Sortie de son écrin, elle révèle la beauté de sa robe rayonnante, brute et trouble... Servie à température plutot fraiche, 8°, la bière léonarde se comporte bien en bouche mais sans trop de caractère. Cependant, ses origines marines se rappellent gracieusement à nous, l' arrière-goût légerement iodé est surprenant mais aucunement désagréable ! La Ouessane de la Brasserie des Abers n' est donc pas une bière à jeter à la mer !
Aspect 4/5 - Arômes 4/5 - En bouche 4/5 - Arrière-gout 4/5 - Total 4/5
C'est très tard en ce mois de juillet que je reprends le clavier pour écrire une nouvelle note sur ce blog. Juste par manque de temps. Surement par manque d' inspiration. Pourtant, deux sujets d' actualité chaude m' ont bien occupé ces derniers temps, sans pour autant qu' il y est nécessairement matière a en disserter pendant trois heures. La première touche à une manifestation purement rouennaise, ils' agit de l' Armada 2008, de son succès et de ses tribulations. La deuxième est interressante pour le devenir de la langue bretonne, il s' agit de la réforme constitutionnelle votée en Congrès à Versailles il y a 6 jours. En voici les détails commentés.
Armada : vent en poupe mais destination incertaine.
5 juillet 2008. Voici une date que beaucoup de rouennais attendaient avec impatience. Le début de l' Armada, la plus grande concentration au monde de grands voiliers et de bateaux de guerre. C'est la cinquième édition, et ça se passe toujours à Rouen. Les quais se transforment, la ville se transforme. Un véritable esprit marin, un esprit de fête, s' empare de la traquilité de la capitale Normande. La dernière édition, celle de 2004, avait attiré plusieurs centaines de milliers de personnes, et bien sur, le record est à battre cette année. L' évenement fut magnifique de bout en bout, si ce n' est que la pluie à jouer plus d' une fois les troubles fête, sans pour autant la gâcher. Pourtant, l' ombre de l' incertitude plane sur l' Armada. Elle provient de l' Hotel de ville de Rouen. La nouvelle maire, Valérie Fourneyron, fraichement élue, n' en était pas à son coup d' essai. Le mois précédent, elle avait defrayé la chronique, en annonçant que la médiathèque en construction dans le quartier Grammont allait être abandonnée et détruite. Des millions d' euros jetés par les fenêtres, des années d' études réduites à néant... Juste pour détruire un projet porté par " l' autre camp " du conseil municipal anciennement à la tête de la ville. Et bien, voici que cette chère madame Fourneyron s' attaque à la plus grande fierté des rouennais : l' Armada, seule manifestation de renommée mondiale de la région. Pour elle, cette édition 2008 devait être la dernière : trop coûteuse, l' Armada ruine la ville... sic... Certes, l' Armada, organisée tout les 5 ans par l' association "Armada de la Liberté", est un investissement certains pour la ville. Mais à côté de ça, il faut surtout voir les retombées sur l' économie locale, sans oublier la dynamique culturelle qu' elle engendre. Sauf que pour le coup, cette annonce n' est pas passée inapperçue. Laurent Fabius, chef de file de la gauche locale, grand ami de madame Fourneyron, s' est empressé d' assurer, lors d' une soirée privée sur le navire "Atlantis", que cette édition ne serait pas la dernière. Revers pour le maire de Rouen. Pour couronner le tout, Patrick Herr, instigateur originel de l' Armada, a annoncé qu' il se retirait de l' organisation de l' édition de 2013. Ces deux raisons ont poussé Valérie Fourneyron a être nettement moins catégorique. C'est donc un espoir qui éclaircit le ciel sombre de l' avenir de l' Armada. Les chiffres de l' édition 2008 sont tombés cette semaine, les hotels, auberges et restaurant ont affiché un taux de remplissage de 95% sur la période 5-14 juillet. Les visiteurs étaient encore plus nombreux que la fois précédente. L' Armada continue de monter en puissance.
Le Brezhoneg dans la Constitution. Bientôt respecté ?
Mardi 22 juillet avait lieu, au château de Versailles, le Congrès qui a dû statuer sur l' avenir du projet de modification constitutionnelle relatif à la modernisation des institutions. Ce qui surtout interessant ici est l' introduction d' un article 75-1 qui dispose que "Les langues régionales appartiennent au patrimoine de la France". L' ajout d' un tel article avait pourtant suscité un mois plus tôt une véritable polémique dans les milieux parlementaires. En effet, l' ajout à l' article 1 de l' intitulé ci-dessus avait provoqué une véritable levée de boucliers... "Vous vous rendez compte ! C' est une véritable regression pour la langue française !" avait declaré l' Académie Française, reprise en coeur par le jacobinisme des médias parisiens... Et bien cet article 75-1 est désormais ici, que celà leur plaise ou non. Le tout est maintenant de savoir si une telle règle de droit à juste une portée déclarative, ou une réelle force obligatoire. Et là c'est pas gagné. Je pense surtout que cette phrase anodine, conotée de passéisme et de colonialisme, a été inséré comme pure mesure decorative, faisant pencher quelques voix de parlementaires en faveur de la révision. Y aura-t-il des crédits supplémentaires accordés à des organismes tels que l' Ofis ar brezhoneg, qui oeuvrent pour la preservation de ces "langues régionales" ? Des actions concrètes pour développer leur utilisation seront-elles facilitées ? J' en doute fortement. Le seul texte valable à l' heure actuelle est la Charte Européenne des langues minoritaires, signée par la France, mais dont la ratification a été empéchée par le Conseil Constitutionnel, sous motif d' inconstitutionnalité aux termes de l' article 2 de cette bonne vieille Constitution de 1958. Et bien, les pouvoirs publics ont toutes les cartes en main pour faire de grandes choses désormais... so, wait and see.
En cette période de estivale, rien de tel qu' une bonne bière blanche pour se désalterer (avec modération, evel just!). La Distillerie Warenghem, qui produit le fameux chouchen "Melmor" est aussi l' instigateur de la "Bier Breizh" et de ses différentes variantes, dont la Bier Breizh blanche. La bouteille n' est pas très travaillée, mais garde un graphique agréable. En ouvrant cette bouteille, vous remarquerez que cette bière est assez trouble et légerement dorée, épaississant ainsi le mystère de son arôme fruité... En bouche, une surprenante saveur acidulée comble votre palais : une véritable gorgée de fraicheur, délicatement relevée par le malt à whisky servant à l' élaboration de ce breuvage. Passé cet instant un arière-goût léger, pas excessivement prononcé vous incite à reprendre une gorgée. La Bier Breizh blanche est une bière désaltérante et raffraichissante qui fera également le bonheur de vos papilles durant tout l' été.
Aspect 4/5 - Arômes 5/5 - En bouche 5/5 - Arrière-goût 4/5 - Total 4,5/5
Depuis le coup de siflet final de la rencontre qui a opposé les équipes nationales de football de Bretagne et du Congo, on a guère entendue réellement parler de cette rencontre dans les médias (à part le reportage de France 3 Bretagne...).
Inquiet de ne pas avoir de nouvelles de nos héros d' un soir, j' ai fais mes recherches ici et là à travers la grande toile mondiale. Je vais donc résumer ici le fruit de mes recherches, qui recèlent certaines petites perles...
J' ai recueilli sur mon profil Dailymotion toute les vidéos que j' ai pu trouver. On peut y visionner 2 reportages de France 3, ainsi que les rushs du second reportage, concernant le match lui même. Ces rushs sont des interviews de supporters présents lors de la rencontre. Certaines sont visibles en parties dans le reportage, le reste, bizarrement, non... Certes, cela aurait surement été trop long pour un reportage d' a peine 1 minute 30, mais il y' a peut etre une seconde raison. Lorsque vous visionnez ces rushs, les supporters bretons parlent abondement de "séléction national", de "fierté bretonne" , de "pourquoi pas un match Bretagne - France ?". Un membre du Kop Breizh a d' ailleurs très bien étayé son point de vue, en faisant rentrer dans son entrevue les thématiques de Nation Bretonne et de la réunification de Nantes à la Bretagne. Malheuresement, France 3 a fait des découpe sèche dans ces interviews, si bien que toute référence à une appartenance ancrée à la Bretagne a bel et bien disparut... D' autres vidéos sont également à visionner, notamment celles du Kop Breizh, qui nous permettent de gouter l' ambiance dans les tribunes !
Une question qui a beaucoup été posée ces derniers temps sur les forums bretons était : "Où puis-je me procurer le maillot de l' équipe de Bretagne ?". Et bien, j' ai reçu la réponse par e-mail pas plus tard qu' hier soir ! Ce mail provenait de Bretagne Football Association, qui châpote l' équipe de Bretagne. Ce mail comportait une photo des Diaouled Du (cf. en bas de l' article), ainsi qu' un bon de commande pour le fameux maillot ! A l' origine, le maillot de l' équipe de Bretagne n' était mis en vente que le 20 mai au abords du Stade Fred Aubert de Saint-Brieuc. Devant les demandes incessantes de nombreux supporters Bretons, BFA a donc demandé à Uhlsport de le rééditer. Pour information, il est vendu 40€, auxquels il faut ajouter 7€ de frais de port. Celui porté par Fabrice Garin a été revendu 100€ sur le site de ventes aux enchères Ebay, au profit d' une association de lutte contre la mucoviscidose du Finistère.
L' email comportait également une information capitale. Oui, l' équipe de Bretagne reviendra. L' année prochaine, surement pour le 2 ou 3 juin, la saison s' achevant le 30 mai. L' évenement est prévut pour avoir lieu à Nantes. Lieu hautement symbolique pour faire jouer cette équipe de Bretagne. On parle de 4 adversaires potentiels : Côte d' Ivoire, Sénégal, Pays de Galles ou Eire. Bref que du beau monde ! C' est un projet ambitieux. Il mérite toute l' attention des Bretons et pas seulement des amateurs de football. Il en va de l' avenir de notre selection nationale. N' attendons plus 10 ans avant de revoir jouer l' Equipe de Bretagne de Football sur une pelouse !
La Duchesse Anne porte bien son nom : voici une blonde à fort caractère ! Sur sa bouteille figure une jolie représentation de la souveraine bretonne, comme la plupart des bières de la brasserie Lancelot, le côté celtique et convivial est mis en avant. J' ouvre alors la bouteille et la verse dans un verre : quelle ne fut pas ma surprise en découvrant une belle mousse onctueuse se former sur le col du récipient ! Portée à lumière, je ne put m'empecher de faire la comparaison, avec une autre bière de qualité, mais celle-ci Belge, la Duvel : la blondeur est troublée et semble imprégnée de mystères, qui ne demandent qu'à être découverts. Ne tenant plus, je bois une gorgée, et là un gout fruité réveille mon palais... Un léger regret, cet arôme subtil ne dure qu'un court instant, mais laisse place à une amérité simple mais pas trop prononcée conjuguée à une texture tannée qui n'est pas désagréable en bouche... Voilà une bière qui ne mérite que des éloges, une véritable incitation au voyage, au lyrisme, bref une véritable bière blonde de dégustation qui n'a rien à envier aux meilleures trappistes de Belgique..
Aspect 5/5 - Arômes 4/5 - En bouche 5/5 - Arrière-goût 4/5 - Total 4,5/5
Hier soir, au stade Fred Aubert de Saint-Brieuc, avait lieu la rencontre de football que tout les bretons attendaient depuis 10 ans : le match de l' équipe nationale de Bretagne contre l' équipe nationale du Congo.
En effet, depuis le 21 mai 1998, et le match Bretagne - Cameroun (1-1) au stade de la Route de Lorient à Rennes, il n' y avait plus eu d' évènement footballistique mettant en scène l' équipe nationale de Bretagne, du moins en extérieure et avec une séléction de professionnels. Hier soir, l' émotion était donc palpable aux abords du stade Fred Aubert. Dix-huit professionnels joueurs bretons (nés ou originaires de Bretagne) ont répondu présent à l' appel de Bretagne Football Association et du sélectionneur Serge Le Dizet, ancien entraineur de Nantes. A noter que dans le staff se trouvaient également de grands noms du football breton, comme Stéphane Guivarc'h ou encore l' ancien guingampais Stéphane Carnot. Sur le terrain, de nombreux joueurs de talent et d' expérience, tel Yann Lachuer, Talmont, Moullec et le capitaine Guégan.
Avant la rencontre, le retentissement des hymnes à permis de faire s' envoler les notes du Bro Gozh ma Zadoù dans les travées du stade Fred Aubert. Et durant tout le temps de jeu, les footballeurs bretons ont été accompagné par le Kop Breizh, et ses chants de supporter, Bevet Breizh, Bretagne Nation ou encore Qui ne saute pas n'est pas Breton. C'est dans cette atmosphère bon enfant que les deux selections ont évolué, offrant un beau spectacle aux spectateurs, et aussi aux téléspectateurs, car Direct 8 retransmettait la rencontre sur les ondes de la TNT. Certes, les équipes ne disposait pas encore d' un niveau de jeu à la hauteur de la prochaine coupe d' Europe, celà s' expliquant par le fait que les automatismes n' étaient pas encore rodés, mais le match ne manquait pas de rythme, surtout après le premier but Breton marqué par le guingampais Nicolas Haquin à la 36 ème minute. Les joueurs bretons ainsi débridés ont profité de la seconde période pour accroitre l' écart au score, par Yann Lachuer à la 53 ème et Fabien Robert à la 65 ème. Fort de ce score, les bretons n' ont cependant pas relaché leur effort, mais les Congolais se sont montrés oportunistes, réduisants la marque à la 80 èmé minute par un but de Batota.
La match s' est clos sur ce score de 3-1 pour la seclection Bretonne. Serge Le Dizet a déclaré après le match qu' il verrait bien l' équipe de Bretagne revenir pour de prochains matches contre d' autres séléctions nationales. Il est sûr qu' une autre attente de 10 ans pour revoir jouer les bretons serati une abération.
L' organisation d' un tel match est complexe, il faut convaincre des partenaires et surtout les instances dirigeantes du football français, souvent enclines à opposer leur veto à ce genre de projet. Pourtant, ces matches de l' Equipe nationale de Bretagne reste une excellente vitrine de l' identité bretonne. Tout breton, amateur de football ou non, peut ainsi montrer fièrement ses couleurs, transcendées par le formidable vecteur d' image qu' est le football. Voir plus souvent cette sélection bretonne augmentera au fil des matches la fierté d' un pays pour son sport, mais aussi réveillera les consciences sur ce qu' est la Bretagne, et la nécessité de la préserver.
Mardi 20 mai 2008 Bretagne – Congo (Brazaville) : 3-1 Buts : Haquin (36eme), Y.Lachuer (53eme), F.Robert (65eme) pour la Bretagne – Batota (80eme) pour le Congo (Brazaville)
Je remets ici en libre téléchargement sous licence Creative Common 2.0 BY-SA un travail que j' ai terminé l' an dernier, et dont vous avez peut être déjà eu accès.
Il s' agit de la traduction de la Vie de Saint Pol-Aurélien par Albert Le Grand. Ce dernier avait retranscrit en vieux français la plupart des vie des Saints Fondateurs de la Bretagne. Je me suis permis de reprendre un travail effectué sur ces textes à la fin du XIXème siècle, de traduire le texte en français moderne, de reprendre les annotations et de rajouter certaines remarques par rapport à mes connaissances personnelles.
Pourquoi Saint Pol ? Parcequ' il est considéré comme le fondateur de l' évêché du Léon, là d' où je viens. Il a laissé une marque profonde sur l' histoire des villes et villages de ce Bro de Bretagne. La Cathédrale de Saint-Pol-de-Léon lui est toujours consacrée. De nombreuses légendes locales, notamment celle du "Trou du Serpent" en l' Ile de Batz, ont alimenté la curiosité autour de ce personnage, qui est un jour venu du Pays de Galles prêcher la Sainte Parole en Petite Bretagne. Les aventures de ce personnage hors du commun, qui fait partie de mes racines, m' ont poussé à faire des recherches sur lui, sur ses actes, sur sa vie et ses accomplissements.
C' est pour celà que je mets mes travaux à votre disposition, par le biais d' un licence libre, qui permet de modifier et redistribuer ce travail, du moment qu' on en cite la source.
Au premier abord, Coreff Blonde dispose d' une jolie bouteille qui laisse présager d' une bière de qualité. En effet la Coreff est une des bières les plus reconnue de Bretagne ! Servie dans le verre spécifique des Coreff, sa robe dorée emoustille les papilles, dommage que la mousse ne soit pas toujours au rendez-vous. Buvez une gorgée, et alors, vous serez conquis ! Elle laisse un léger arrière-goût amer mais pas désagréable, au contraire ! Conclusion, la Coreff Blonde est une bonne expérience !
Aspect 3/5 Arômes 5/5 En bouche 5/5 Arrière-goût 4/5
Total 4.3/5
Gwiniz Du
Une belle bouteille, une belle mousse, une bonne odeur, on regrettera seulement que cette Gwiniz Du, qui se marie très bien avec les galettes de blé noir, ait un gout en bouche trop neutre, même si la surprise viens surtout de l' arrière gout amer et légerèrement salé qui a régalé mes papilles. Reste quand même un cru à découvrir. Aspect 4/5 Arômes 5/5 En bouche 3/5 Arrière-goût 5/5
Comme vous l' avez sûrement remarqué, lorsque vous tapez dans votre navigateur www.gwilhermalleonad.net, vous ne vous retrouvez pas sur la page habituelle. Ne zappez pas, c'est normal.
Il est vrai que depuis le mois de janvier, je n' ai pas beaucoup donné de nouvelles à travers ce blog, l' emploi du temps n' aidant pas vraiment. Pas de nouveau billet, pas de nouvelle critique de bières, ni de nouveaux fichiers à télécharger et encore moins de pub pour les logiciels libres. Récemment, j' ai pourtant trouvé le temps de m' y reconsacrer un petit peu. Mais, pas de bol, impossible de mon connecter sur la page d' administration de mon GuppY qui me servait jusqu' à maintenant de plate-forme de blog.
J' ai donc cherché une solution pendant un petit bout de temps. Et j' ai décidé de ranger GuppY au placard afin d' adopter une plate-forme plus souple, plus "blog" et moins contraignante en terme d' administration. Après des heures passée sur la toile, bredouille, j' ai appliqué l' adage bien connu "Google est ton ami". Et oui, Google a aussi sa plate forme de blog, souple et performante, avec un look sobre et design, la possibilité de rajouter de nombreuses fonctionnalités. Exactement ce qu' il me fallait. Vous avez le résultat devant vos yeux.
La Radio.blog a donc fait son retour sur ces pages. Petit à petit, je remettrai les fichiers en téléchargement par le biais de liens hypertexte dans un billet présentant le dit fichier. Et bien entendue, le retour de la "Bière du Mois" est prévu, avec des redif' (il faut bien que tout le monde puisse en profiter, héhé) . Je ferai pas mal de pub pour mon Linux USer Group, RotomaLUG ainsi que pour Linux et les logiciels libres.
C' est donc un bon lifting que s' offre le blog, sans pour autant changer d' état d' esprit, juste bousculer les habitudes... Mort à la routine, voici le blog libre !
La KXK est produite par une petite brasserie du sud du Pays de Rennes, la Brasserie Kalon. Cette bière blonde présente la mention " bitter " sur son étiquette aux couleurs chaudes, témoignant d' une filiation d' outre-manche.
